Le remède sauvage : quand la nature soigne mieux que la science ?
Et si la réponse à nos maux modernes ne se trouvait pas dans une molécule de synthèse, mais dans une clairière oubliée ? Dans l’odeur d’un sous-bois humide, dans le chant discret d’un ruisseau, dans la chaleur du soleil sur la peau ? Depuis toujours, la science cherche à comprendre, isoler, contrôler. Elle fragmente le vivant pour mieux l’expliquer, quantifie le mal pour mieux le traiter. Mais dans cette quête de précision, n’a-t-elle pas parfois oublié l’évidence la plus simple Psychologues paris14